Quelques principes à respecter après une augmentation mammaire
L’augmentation mammaire s'avère très capitale pour bon nombre de femmes à nos jours. Mais malheureusement, la période excédant celle de l’opération est négligée chez la plupart. Quels sont donc les principes à ne jamais bafouer après une telle opération ? On en saura bien plus sur ces règles primordiales à travers les lignes à suivre.
Comment se rétablir convenablement après une augmentation mammaire ?
Il suffit de consulter https://www.dr-michaelveber.com/augmentation-mammaire/ pour comprendre qu’il ne suffit pas d’effectuer une augmentation mammaire et de se négliger. La période qui suit celle de l’opération est tout aussi délicate. Elle vous permettra de raffermir les résultats obtenus lors de la chirurgie. Après une augmentation mammaire, la concernée se doit de prendre au moins un repos de 7 jours pour se reposer. Ce délai d’une semaine permettra à la blessure de cicatriser un temps soit peu. Au cours de ce temps de repos, il est judicieux pour la patiente de dormir. On le sait, le sommeil est un moyen efficace pour récupérer. Afin que le sang circule convenablement, il est recommandé de dormir sur le dos tout en étant légèrement incliné.
Quant au sport, il est une activité importante mais après une telle opération, mieux vaut s’en préserver. Une activité sportive pourrait provoquer un accroissement du sang vers votre poitrine. Cela entraînerait sans doute le relâchement de certains points de sutures. Par ailleurs, le respect d’une alimentation saine favorise énormément à la cicatrisation de votre plaie. Parlant de cicatrisation, il faudra éviter de prendre des bains chauds. Pour finir, le recours à un soutien-gorge de maintien ne serait pas une mauvaise idée pour entretenir la poitrine.
Les personnes éligibles à une augmentation mammaire
Il est impératif de préciser que toutes les personnes ne sont pas autorisées à subir une chirurgie mammaire. Qu’importe la méthode utilisée, il s’agit d’une opération proscrite à différentes catégories de femmes. On fait allusion à celles ayant souffert du cancer du sein ou souffrant d’une maladie auto-immune, aux femmes enceintes. Sans aucun doute, les adolescentes sont aussi concernées car n’ayant pas encore 18 ans.